La nouvelle exposition de la maison de la culture du Japon à Paris rassemble pour la première fois 26 kimonos (du premier conçu en 1967 à celui spécialement réalisé pour l’exposition), 11 peintures et créations ornés de motifs géométriques hérités des arts graphiques européens qu’il a étudiés à Paris et de l’apprentissage traditionnel auprès de son père, Kakô Moriguchi, maître du yûzen. Elevé au statut de trésor vivant par les autorités japonaises, le maître perpétue et renouvelle la tradition de la teinture du tissu (Yûzen).